CIRCUIT CONGRÉGATIONSD3 | CONGRÉGATION DES SŒURS DE NOTRE-DAME DU SAINT-ROSAIRE

C’est le 12 septembre 1879 que l’évêque fonde la congrégation des Sœurs des petites écoles, qui devient, à partir de 1891, les Sœurs de Notre-Dame du Saint-Rosaire. Construite de 1905 à 1907, la maison mère présente une partie centrale qui se distingue par la disposition symétrique des ouvertures et la sobriété de l’ensemble. Elle respecte les plans du chanoine Georges Bouillon.

En 1925, une grange-étable est construite sur le terrain adjacent à la maison mère. Plusieurs bâtiments, dont une porcherie, un poulailler et une bergerie, s’ajoutent par la suite. Des terres sont acquises par la congrégation jusqu’en 1949. La congrégation exploite également un rucher, un verger ainsi qu’une serre. Le 11 février 1991, la communauté décide de vendre ses terres, situées au sud de la 2e Rue, à la Ville de Rimouski. En 2009, un quartier résidentiel (Prés du Saint-Rosaire) est aménagé sur les anciennes terres agricoles qui ont assuré l’autosuffisance alimentaire de la congrégation pendant plus de 90 ans. En 2014, les Sœurs de Notre-Dame du Saint-Rosaire décident de procéder au démantèlement de la grange-étable.

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CIRCUIT DU MANOIRLA MAISON GAGNON

C’est au début des années 1920 que Georges Gagnon, prêtre à la retraite, fait construire cette maison par l’entrepreneur Ferdinand Santerre. En 1926, l’immeuble est acheté par Louis-Joseph Mercier, puis acquit en 1942 par sa fille, épouse du médecin Pierre-Paul Gagnon, premier radiologiste de l’hôpital de Rimouski. L’édifice est transformé en café en 1992. D’abord connu sous le nom de Café La Bohème, il devient, quelques années plus tard, le Central Café. À l’origine, la maison se distinguait par ses immenses galeries couvrant, sur deux niveaux, les façades nord, est et ouest. Encore aujourd’hui, les détails architecturaux conservés tels que les poteaux en bois tourné épaulés de consoles à volutes, la prédominance du pignon central et la corniche rappellent son apparence d’autrefois. C’est au début des années 1920 que Georges Gagnon, prêtre à la retraite, fait construire cette maison par l’entrepreneur Ferdinand Santerre. En 1926, l’immeuble est acheté par Louis-Joseph Mercier, puis acquit en 1942 par sa fille, épouse du médecin Pierre-Paul Gagnon, premier radiologiste de l’hôpital de Rimouski. L’édifice est transformé en café en 1992. D’abord connu sous le nom de Café