CIRCUIT VILLASC5 | RÉSIDENCES DES RUES JULES-A.-BRILLANT ET SAINT-CYPRIEN

Vers la fin du 19e siècle, l’avocat Léonidas Dionne fait construire une grande maison blanche d’influence Second Empire. La maison Blanche (42, rue Jules-A.-Brillant) se distingue par son toit brisé à quatre versants et ses lucarnes à frontons en demi-cercle. Au début des années 1940, les propriétaires augmentent la superficie de la maison en y ajoutant un garage double ainsi qu’une cuisine d’été. La fenestration, assurée par des châssis à guillotine à neuf carreaux pour chacun des châssis, est plus récente et date probablement des travaux d’agrandissement. C’est au milieu des années 1960 que la compagnie Québec-Téléphone acquiert la maison des Immeubles Bois-Brillant pour y aménager des bureaux. En 2000, Québec-Téléphone, devenue QuébecTel, passe entre les mains de la compagnie TELUS.

Construite à la fin du 19e siècle, la maison Leclerc (203, rue Saint-Cyprien) arbore un style à la québécoise. Le nom de la maison réfère à Henri Leclerc, un agriculteur qui achète la maison en 1947. Il est à l’origine de l’agrandissement de la maison et de l’ajout d’une véranda à carreaux, comme plusieurs résidences de la région. Celle-ci présente un grand intérêt patrimonial parce qu’elle n’a subi que très peu de changements.

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CIRCUIT DU MANOIRLA MAISON GAGNON

C’est au début des années 1920 que Georges Gagnon, prêtre à la retraite, fait construire cette maison par l’entrepreneur Ferdinand Santerre. En 1926, l’immeuble est acheté par Louis-Joseph Mercier, puis acquit en 1942 par sa fille, épouse du médecin Pierre-Paul Gagnon, premier radiologiste de l’hôpital de Rimouski. L’édifice est transformé en café en 1992. D’abord connu sous le nom de Café La Bohème, il devient, quelques années plus tard, le Central Café. À l’origine, la maison se distinguait par ses immenses galeries couvrant, sur deux niveaux, les façades nord, est et ouest. Encore aujourd’hui, les détails architecturaux conservés tels que les poteaux en bois tourné épaulés de consoles à volutes, la prédominance du pignon central et la corniche rappellent son apparence d’autrefois. C’est au début des années 1920 que Georges Gagnon, prêtre à la retraite, fait construire cette maison par l’entrepreneur Ferdinand Santerre. En 1926, l’immeuble est acheté par Louis-Joseph Mercier, puis acquit en 1942 par sa fille, épouse du médecin Pierre-Paul Gagnon, premier radiologiste de l’hôpital de Rimouski. L’édifice est transformé en café en 1992. D’abord connu sous le nom de Café