CIRCUIT MANOIRA3 | MANOIRS SEIGNEURIAUX *TEMPORAIREMENT INDISPONIBLE*

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La première maison du seigneur René Lepage, arrivé vers 1694, est située sur l’actuelle rue Saint-Robert jusqu’à ce qu’elle soit démolie vers 1915. Son fils, Pierre Lepage de Saint-Barnabé, fait construire sa propriété tout près de celle de ses parents vers 1716. Son descendant, Germain Lepage, érige vers 1746 une résidence à colombages sur sole d’esprit français.

En 1790, Joseph Drapeau, un marchand de Québec, acquiert une grande partie de la seigneurie de Rimouski. Ce sont ses filles qui décident de faire construire le dernier manoir seigneurial en 1845. La petite-fille du seigneur Drapeau, Adèle Kelly, et son époux Ulric-Joseph Tessier héritent de la demeure en 1860. Avec leurs huit enfants, ils résident au manoir seigneurial pendant la saison estivale.

Grand journaliste québécois à la fin du 19e siècle, Arthur Buies est élevé par ses grandes tantes, Luce-Gertrude et Louise-Angèle Drapeau, seigneuresses de Rimouski. Le célèbre personnage du roman Un homme et son pêché de Claude-Henri Grignon, rédigé en 1933, réside de nombreux étés dans le manoir Tessier. Le bâtiment est détruit en 1950, lors du Grand Feu de Rimouski.

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CIRCUIT DU MANOIRLA MAISON GAGNON

C’est au début des années 1920 que Georges Gagnon, prêtre à la retraite, fait construire cette maison par l’entrepreneur Ferdinand Santerre. En 1926, l’immeuble est acheté par Louis-Joseph Mercier, puis acquit en 1942 par sa fille, épouse du médecin Pierre-Paul Gagnon, premier radiologiste de l’hôpital de Rimouski. L’édifice est transformé en café en 1992. D’abord connu sous le nom de Café La Bohème, il devient, quelques années plus tard, le Central Café. À l’origine, la maison se distinguait par ses immenses galeries couvrant, sur deux niveaux, les façades nord, est et ouest. Encore aujourd’hui, les détails architecturaux conservés tels que les poteaux en bois tourné épaulés de consoles à volutes, la prédominance du pignon central et la corniche rappellent son apparence d’autrefois. C’est au début des années 1920 que Georges Gagnon, prêtre à la retraite, fait construire cette maison par l’entrepreneur Ferdinand Santerre. En 1926, l’immeuble est acheté par Louis-Joseph Mercier, puis acquit en 1942 par sa fille, épouse du médecin Pierre-Paul Gagnon, premier radiologiste de l’hôpital de Rimouski. L’édifice est transformé en café en 1992. D’abord connu sous le nom de Café